Joël Dicker, fidèle à lui-même, captive encore une fois notre attention de la première à la dernière page de son roman "La disparition de Stéphanie Mailer". 

L'auteur se défend de dire que c'est un polar mais ne sait pas trop à quelle catégorie son livre appartient. Chose sûre et certaine, il y a enquête sur un meurtre qui conduit à une autre enquête réalisée 20 ans plus tôt et à bien d'autres péripéties. Notre jeune écrivain nous amène de surprise en surprise ne nous laissant aucun répit. 590 pages de divertissement assuré.